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Zoom sur les diagnostics obligatoires

Vous vendez ou louez votre bien immobilier ? Activ'Expertise vous guide ! Le tableau des diagnostics immobiliers vous indique ceux à réaliser avant une vente ou une location et leur durée de validité.

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Découvrez ce que nos clients satisfaits disent de nos services de diagnostic immobilier.

Gillian A.

Très agréable, ponctuelle, efficace et Pro Je recommande

Audrey M.

J’ai fait appel à cette entreprise pour réaliser les diagnostics de mon appartement dans le cadre d’une vente, et je suis très satisfaite. Ponctuelle et professionnelle, Madame Dorey prend le temps nécessaire pour un travail complet et précis, avec du matériel de pointe. Le pack vente est complet et proposé à un prix raisonnable. Je recommande vivement !

Activ'Expertise La Défense Ouest

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Découvrez notre blog et nos derniers articles sur les diagnostics immobiliers, la réglementation et les conseils pratiques.

À LA UNE
Quand contacter un professionnel pour un repérage d’amiante
21 novembre 2025

Quand contacter un professionnel pour un repérage d’amiante

Pourquoi la recherche d’amiante reste indispensable aujourd’huiBien que l’amiante soit interdit sur le territoire français depuis 1997, de nombreux bâtiments construits auparavant en contiennent toujours. Ce matériau, apprécié à l’époque pour ses performances en isolation et sa durabilité, peut encore être présent dans différents éléments d’immeubles anciens. Reconnaître les situations nécessitant l’intervention d’un expert est essentiel pour limiter les risques pour la santé.Où l’amiante est-il le plus souvent repéré ?Certains composants de bâtiments sont plus susceptibles de contenir de l’amiante. Voici les principaux endroits à surveiller.Isolation des tuyaux et réseaux de chauffage : Dans de nombreux immeubles collectifs ou sites industriels datant d’avant l’interdiction, le calorifugeage servait à recouvrir canalisations, chaudières ou gaines. Il peut se présenter sous forme de manchons, d’enduits fibreux, de bandes isolantes ou de dépôt poudreux dans les espaces techniques. Mal en point, il libère facilement des fibres toxiques dans l’air.Couvertures et façades en fibrociment : Entre les années 1960 et 1990, les plaques ondulées en amiante-ciment étaient couramment utilisées pour les toitures, façades ou annexes. Apparaissant souvent sous une couleur grisâtre et à l’aspect rugueux, ces plaques, bien qu’elles retiennent l’amiante tant qu’elles restent intactes, deviennent dangereuses lorsqu’elles sont détériorées ou lors d’un nettoyage inadapté.Sols et colles anciennes : Les dalles de sol posées entre 1960 et 1980, généralement de format carré et de couleur neutre, peuvent être composées de vinyle-amiante. La colle utilisée à l’époque, souvent noire ou brune, peut également renfermer de l’amiante. Le risque s’accroît lors de travaux tels que le ponçage ou le retrait de ces revêtements.Quels sont les dangers liés à l’amiante ?L’exposition à des fibres d’amiante, invisibles à l’œil nu, constitue un réel danger pour la santé. La libération de ces particules survient surtout lors de la dégradation, de travaux ou de manipulations inappropriées. Seule une analyse en laboratoire permet de confirmer leur présence.Le diagnostic : une étape obligatoire avant travaux ou venteTout projet immobilier concernant un bâtiment ayant obtenu son permis de construire avant juillet 1997 impose la réalisation d’un diagnostic amiante par un spécialiste certifié. Ce contrôle professionnel a plusieurs objectifs :Détecter les matériaux contenant de l’amiante.Évaluer leur état et les risques potentiels.Déterminer les mesures à prendre : surveillance, retrait ou confinement.Faire appel à un diagnostiqueur garantit un examen approfondi et des conseils adaptés pour protéger occupants, intervenants et acquéreurs lors de la vente ou de la rénovation du bien.Quand solliciter un spécialiste ?Il est recommandé de consulter un professionnel certifié dès que vous envisagez des travaux de rénovation, une vente ou si vous suspectez la présence d’amiante dans des éléments anciens de votre logement. Celui-ci saura identifier les matériaux à risque et orienter vos démarches pour respecter la réglementation et sécuriser le bâtiment.En somme, le recours à un expert dans le repérage de l’amiante n’est pas qu’une obligation légale : c’est une précaution indispensable pour préserver la santé de tous.

Réforme énergétique 2026 : valorisez facilement votre bien
Publié le 23 Septembre 2025

Réforme énergétique 2026 : valorisez facilement votre bien

Une évolution majeure dans le calcul énergétiqueÀ partir de janvier 2026, une transformation significative interviendra dans la manière dont les performances énergétiques des logements sont évaluées. Le gouvernement a décidé de revoir le coefficient utilisé pour calculer la consommation d’énergie primaire de l’électricité. Ce changement technique, pourtant discret, aura des répercussions notables sur le classement énergétique de nombreux biens immobiliers, en particulier ceux dotés d’un chauffage électrique.Quels impacts sur votre logement ?L’ajustement du coefficient énergétique entraîne plusieurs conséquences positives. Environ 850 000 logements chauffés à l’électricité pourraient ainsi bénéficier d’un meilleur classement sur leur diagnostic de performance énergétique (DPE). Les logements actuellement pénalisés par un classement en F ou G seront, pour une large part, revalorisés. Cette évolution sera d’autant plus avantageuse pour les petites surfaces, qui pourraient même gagner jusqu’à deux classes énergétiques.En améliorant l’étiquette énergétique, la valeur de votre bien immobilier peut augmenter, qu’il s’agisse de le vendre ou de le louer.Un simulateur pour anticiper dès aujourd’huiIl est désormais possible d’estimer l’étiquette énergétique que votre bien affichera dès 2026 grâce à un outil en ligne pratique et sans frais. Ce simulateur offre la possibilité en quelques secondes de :Obtenir une estimation claire de votre future classe DPE, suivant les critères de la réformeSavoir si votre bien restera considéré comme énergivore après l’entrée en vigueur des nouvelles règlesMieux valoriser votre logement en intégrant ces évolutions dans vos projets de mise en location ou de mise en venteEn anticipant le nouveau mode de calcul, vous prenez une longueur d’avance pour adapter votre stratégie immobilière.Les atouts de l’anticipationDepuis la loi Climat et Résilience, les logements présentant une mauvaise performance énergétique font l’objet de restrictions quant à leur mise sur le marché locatif. Si le classement de votre bien s’améliore avec la réforme, cela représente une véritable opportunité d’accroître sa rentabilité et d’élargir son public. Agir dès maintenant permet d’envisager les prochaines étapes de votre projet immobilier — qu’il s’agisse de vendre, louer ou rénover — avec davantage de sérénité et de visibilité.Des professionnels pour vous guiderPour bénéficier d’un accompagnement personnalisé, vous pouvez faire appel à des diagnostiqueurs certifiés capables de :Réaliser un diagnostic énergétique conforme aux nouvelles exigencesConseiller sur les actions à mener afin d’améliorer la performance de votre logementVous aider à optimiser la valeur de votre patrimoine immobilier sous le prisme des nouvelles normesPréparez l’avenir de votre bien immobilierLa révision du DPE en 2026 marquera une réelle avancée pour le secteur immobilier français, en particulier pour les propriétaires de logements alimentés à l’électricité. Utiliser dès aujourd’hui le simulateur de la réforme 2026, c’est investir dans l’avenir et garantir la valorisation de votre patrimoine.Testez gratuitement la nouvelle étiquette énergétique de votre logement et découvrez l’effet de la réforme, directement depuis la page suivante : Accéder au simulateur.

Dpe : la réforme fragilise-t-elle l’équité entre propriétaires
Publié le 06 Août 2025

Dpe : la réforme fragilise-t-elle l’équité entre propriétaires

Une modification du dpe aux répercussions notablesLe gouvernement prévoit d’abaisser le coefficient de conversion de l’électricité utilisé dans le calcul du diagnostic de performance énergétique (dpe) à partir du 1er janvier 2026, passant ainsi de 2,3 à 1,9. ce changement s’inscrit dans le sillage des directives européennes, dans un contexte où l’électricité d’origine renouvelable prend davantage de place dans le bouquet énergétique national.Quels impacts pour les logements et les propriétairesCe nouvel ajustement pourrait sembler anodin, mais il aura des effets immédiats et concrets : les logements chauffés électriquement pourraient voir leur dpe amélioré sans qu’aucune rénovation n’ait eu lieu. près de 850 000 habitations actuellement qualifiées de passoires thermiques passeraient automatiquement à un niveau supérieur uniquement à cause du nouveau mode de calcul, sans changement réel de consommation énergétique.Cette évolution présente plusieurs effets secondaires. d’une part, cela risque d’orienter le marché vers une promotion accrue du chauffage électrique, au détriment d’alternatives performantes comme les chaudières utilisant le biogaz ou les systèmes hybrides. d’autre part, l’écart entre la classe dpe indiquée sur le papier et les factures d'énergie réelles risque de s’accentuer, puisque ces dernières restent basées sur l’énergie consommée et non sur le nouveau coefficient.Pour les bailleurs, cette modification pourrait réduire l’incitation à investir dans la rénovation énergétique, alors même que le secteur montrait une dynamique encourageante ces dernières années.Une équité en question entre les différents profils de propriétairesDe nombreux acteurs du secteur, dont la capeb et des réseaux de professionnels, expriment leur inquiétude. les artisans, particulièrement investis dans la rénovation globale et performante, pourraient voir leur activité fragilisée. de plus, le changement soudain des critères risque de semer la confusion parmi les propriétaires et locataires, complexifiant la lecture et la fiabilité du dpe comme outil de décision.dans ce contexte, l'enjeu d’un traitement juste entre différents types de propriétaires (ceux ayant investi dans la rénovation et ceux bénéficiant simplement d’un changement de calcul) se pose avec acuité. la trajectoire de diminution des émissions du bâtiment, inscrite dans la stratégie nationale bas carbone, pourrait s’en trouver ralentie.Pour un dpe lisible, fiable et juste pour tousIl est crucial que les outils de régulation énergétique demeurent compréhensibles et stables afin de renforcer la confiance des particuliers et des professionnels. toute réforme mérite une évaluation approfondie de ses effets sur le terrain, tant en termes d’équité que de crédibilité. garantir une politique de rénovation cohérente et efficace passe nécessairement par la lisibilité des règles et la concertation avec l’ensemble des acteurs concernés.Pour accompagner ces évolutions, les experts du secteur réaffirment leur engagement à informer et conseiller propriétaires comme collectivités, afin d’assurer à chacun un accompagnement de qualité tout au long de cette transition énergétique.

Loi Boutin quelles sont les pièces comptabilisées
Publié le 15 Juillet 2025

Loi Boutin quelles sont les pièces comptabilisées

Qu'est-ce que la loi Boutin ?Applicable depuis 2009, la loi Boutin encadre la location des logements et impose au propriétaire de mentionner la surface habitable dans le bail. Cette disposition, mise en place pour protéger les locataires, permet d’assurer une plus grande transparence sur la taille du logement proposé à la location.Les pièces concernées par la loi BoutinLa surface habitable, selon la loi Boutin, se calcule en additionnant les espaces de vie principaux du logement : les chambres, le salon, la salle à manger, la cuisine et la salle de bain. Les combles aménagés sont également comptés. Ce mesurage donne un aperçu global de l’espace réellement utilisable au quotidien par le locataire.Critères pour être comptabiliséLa pièce doit disposer d’une surface au sol de minimum 9 m².La hauteur sous plafond doit atteindre au moins 2,20 m.A défaut, le volume de la pièce doit être d’au moins 20 m³.Si une pièce ne remplit pas ces conditions, elle n’est pas intégrée dans le calcul de la superficie habitable.Quels espaces sont exclus ?Certains éléments ne doivent pas être pris en compte dans le calcul de la surface habitable :Murs, cloisons, embrasures de portes et de fenêtresCaves, sous-sols, garages, vérandas non aménagéesRemises, greniers non aménagés, locaux communsSeules les surfaces closes et couvertes, accessibles et aménagées pour l’habitation, entrent dans le décompte officiel.Pourquoi la loi Boutin est-elle importante ?La déclaration précise de la surface habitable joue un rôle essentiel dans la détermination du loyer. De plus, la transparence est renforcée : le locataire sait exactement quelle surface utilisable il loue. Cela permet également de comparer efficacement différents biens sur une base similaire.Faire mesurer son logement : à qui s’adresser ?Pour garantir l’exactitude des mesures et respecter la réglementation, il est conseillé de faire appel à un professionnel qualifié, tel qu’un diagnostiqueur immobilier. Ce dernier saura utiliser le matériel adapté et appliquer les critères légaux pour éviter toute erreur dans le bail.En résuméLa loi Boutin impose aux bailleurs d’indiquer la surface habitable réelle du logement loué, en tenant compte uniquement des espaces de vie conformes aux critères de la loi. Une attention particulière doit être portée aux pièces à comptabiliser et à celles à exclure afin d’assurer la validité du bail et la satisfaction des locataires.